Paris_éventail_2016 

La collection « Le Paris des écrivains » « 

De nombreux romanciers ont un lien privilégié avec la capitale. Proust est un inconditionnel du 8e arrondissement, dont il déteste pourtant l’agitation.

Au 31 de la rue du Pont-Neuf (1er), une plaque indique la naissance de Molière…

Depuis 2015, les éditions Alexandrines se consacrent à Paris et à ses écrivains dans une collection de livres écrits par des plumes affûtées.

L’immersion est totale. Entre biographie intime et voyage littéraire.
Marie Dufour – Télérama  

« Collection originale, qu’il fallait absolument inventer ! »
Vivre Paris n° 24 – Sept./Déc. 2015  

« J’adore cette collection, très jolie et réussie. »
Valérie Expert et Gérard Collard – LCI  

« Quelle relation un écrivain entretient-il avec Paris ? L’idée est simple, il fallait seulement la réaliser avec la qualité qu’apportent les éditions Alexandrines à ces petits livres prêts à être dévorés dans le métro ou sur un banc de la capitale. »
Valérie Marin La Meslée – Le Point

Le Paris de Sartre et Beauvoir,  de Pascale Fautrier « Bien calé dans votre poche, ce petit livre alerte vous guidera sur les lieux sacrés de l’existentialisme. Pas besoin d’être marathonien : nos deux oiseaux ont niché dans le périmètre restreint Luxembourg, Saint-Germain-des-Prés, Montparnasse. »
Frédéric Pagès  – Le Canard enchaîné

Le Paris de Hugo de Nicole Savy « Il n’y en a pas tant que ça, des poètes qui meurent dans une rue portant leur nom. Victor Hugo est mort avenue Victor-Hugo, à Paris, le 22 mai 1885. Un à deux millions de personnes ont défilé pour lui dire adieu. Il devait trouver la capitale à sa démesure, suggère ce remarquable petit ouvrage de Nicole Savy. »
Grégoire LeMénager – L’Obs

Le Paris de Balzac, d’Anne-Marie Baron « Anne-Marie Baron nous offre une balade érudite et plaisante dans ce Paris d’antan, où passent les nombreux domiciles successifs et les lieux fréquentés par l’auteur de La Comédie humaine et ses personnages. Défilent le Marais, la rue Visconti, la rue Cassini, etc. A noter également dans la collection « Le Paris des écrivains », un Modiano, un Proust, « Le Paris surréaliste » signé Gilles Plazy… »
Thierry Clermont – Le Figaro littéraire

Le Paris de Modiano, de Béatrice Commengé « La collection Le Paris des écrivains, née dans le sillage d’une collection déjà existante sur la France des régions, propose de visiter la capitale à partir de la vie des grands romanciers. C’est un Paris rêvé bien sûr qu’a retracé Béatrice Commengé dans ce joli petit livre. Les sensations de l’écrivain, restituées dans ses romans et récits, sont les guides de la visite, avec les souvenirs aussi de lieux disparus. »
Sabine Audrerie – La Croix

« Le Paris de Modiano est une petite réussite. Il est raconté avec lenteur et rêverie par Béatrice Commengé avec un style soigné, mélodieux… »
Virginie Tauzin – Le 13 du Mois

Le Paris de Molière, de Jacqueline Razgonnikoff « Avec talent, Jacqueline Razgonnikoff recrée l’ambiance de la capitale o* triompha l’auteur du Misanthrope. »
Sylvie Prioul – L’Obs

« C’est une visite guidée absolument jolie et juste. »
Jérôme Garcin – France Inter (Le Masque et la Plume)  

Le Paris de Sagan, d’Alain Vircondelet « Tout juste publié dans la collection Le Paris des écrivains, insolent et léger. »
Vanity Fair

Le Paris de Dumas, de Claude Schopp « Ce livre est une magnifique invitation à découvrir notre belle capitale »
Anne Hidalgo – Maire de Paris  

Le Paris gai, de Robert Olorenshaw « Dur de résumer une telle richesse… mais quel plaisir de lire ces pages ! »
Lalucarne.org

Le Paris de Prévert, de Danièle Gasiglia-Laster « Un livre d’amour pour Prévert et pour Paris. »
Gilles Pudlowski – lespiedsdansleplat.com

Le Paris de Napoléon par Pascale Fautrier

talou61 23 juin 2021 ★★★★★
Pamphlet ? Voyage historique ? Essai historique ?
Un peu des trois !
L’auteure imagine les pensées de Napoléone Buonaparte dans le Paris de 1784-1815 et profite de cette promenade d’Est en Ouest pour se livrer à un virulent essai contre les classes dirigeantes parisiennes.
Une balade qui commence par le château de Vincennes, et se poursuite par le faubourg Saint-Antoine, la Bastille (encore debout) et les projets de Napoléon pour remplacer l’ancienne prison démolie par un énorme éléphant.
Après la rue Saint-Antoine, nous déambulons vers la rue Saint-Honoré, la place des Vosges
Une connaissance historique approfondie nous dévoile aussi les conditions de vie au XVIIIe siècle : abattoirs en plein marché, les numéros des rues, l’absence de gouttières, le caniveau axial, les bruits, les odeurs, mais aussi la presse, les « Tivoli » (ces parcs d’attraction sous le Directoire), le Palais-Royal, les Tuileries, Les Carmes, la Place de la Révolution (heu, pardon la place Louis XV, future Concorde !)
On s’y croirait !
(Babelio)